Le passé a fui, tes espoirs sont à venir, seul le présent est à toi
Quelques photos de l'entité de Nandrin du temps jadis et leurs analogues de nos jours.
Photo 1 : Le carrefour des Quatre-Bras fin des années 1990 On distingue la station Texaco dans le fond, le rond point n'existait pas encore.
Le même point de vue année 1930, le groupe de maisons ont été détruites pour construire la station Texaco. On remarque à droite la librairie Noel
Un autre point de vue du groupe de maisons disparu pour la construction de la station texaco. A gauche en bas on remarque les rails de l'arrêt du tram et la route vers Marche.
La station Texaco construite sur l'emplacement du groupe de maisons
Vue similaire à la vue du dessus.
une autre vue, de la route vers Marche, à gauche l'hotel des Quatre-Bras, qui a servi longtemps de malle-poste avec ses écuries
Le groupe de maisons vu dans le sens Marche vers Liège. Juste en face l'arrêt du tram
Le carrefour et la rue d'Esneux en 1950. La pension de famille et le café Eugène Cloux A gauche un coin de l'Hotellerie des Quatre-Bras
Le même point de vue en 2001. On remarque la station Texaco à gauche et le groupe de maisons a disparu. Le rond point n'existait pas
Le carrefour des Quatre-Bras en 2001, le rond-point n'existait pas, le restaurant Rhodos et le Giardino, cuisine Italienne et Grecque tenu par deux gérants.
Vue aèrienne du carrefour des Quatre-Bras dans les années 1960. A l'avant plan la minoterie, prise de vue au niveau du centre des Coquelicots rue Sur Haies.Dans le fond légèrement à droite la librairie Noel
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Le nouveau rond-point de nuit . Les vaches au milieu du rond-point qui en ont tant vu, plusieurs automobilistes sont passés au travers du bunker en fauchant quelques vaches au passage.
Massacre de vaches sur le bunker, en décembre 2008 un conducteur indélicat est venu une fois encore (on ne compte plus les accidents) percuter les pauvres vaches innocentes du talus, on remarque à l'avant plan les traces de la voiture. On n'a même plus le temps de remettre les animaux de résine en place qu'ils se font fauchés impitoyablement.